Bruno Cargnelli


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Bruno Cargnelli
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Rédaction du guide de la qualité environnementale du bâtiment, édité par Isover

interne

Guide Isover de la Qulaité environnementale des bâtiments

jan 2008
Bâtiment et Environnement  articles récents
Les enjeux planétaires     
1 - Le changement climatique

La planète se réchauffe. Les preuves sont indiscutables.

La Terre se réchauffe chaque jour un peu plus.
Il n’est plus possible d’en douter : la planète se réchauffe. Les météorologues ont chiffré de +0,6°C à +0,7°C en moyenne l’élévation des températures au cours du XXème siècle. Cela peut sembler peu. Mais lorsque l’on sait que deux degrés supplémentaires – c’est-à-dire la fourchette basse des prévisions établies pour 2100 par les scientifiques du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), réunis à Bruxelles en avril 2007- auront déjà des conséquences dramatiques pour la vie sur Terre… On n’ose envisager que les hypothèses les plus pessimistes (jusqu’à +6,4°C dans l’un des 6 scénarios envisagés par les experts) puissent se réaliser.
En attendant, 2005 a d’ores et déjà été l’année la plus chaude jamais enregistrée.
Il y a urgence. Mais que faire concrètement ?

Oui, le réchauffement est bien dû à l’activité humaine
Pour la vaste majorité des climatologues, il n’y a aucun doute possible : les activités humaines jouent un rôle essentiel dans le processus du réchauffement climatique. L’accélération de la hausse des températures observée depuis les années 1970, l’absence d’autre cause plausible avancée pour expliquer les variations enregistrées, le fait que les températures augmentent plus vite la nuit que le jour , confirmant ainsi qu’il s’agit bien d’un effet de serre qui joue même pour l’hémisphère non exposé au soleil : pour toutes ces raisons, les experts du GIEC attribuent à l’activité humaine la responsabilité du réchauffement planétaire. C’est pour eux sûr « avec une probabilité supérieure à 90 %* ».
* Déclaration des experts du GIEC du 29 janvier 2007 à la conférence de Paris pour une gouvernance écologique mondiale/dépèche du 02-02-2007

CO2 : deux tiers des émissions de gaz à effet de serre
Parmi les gaz à effet de serre d’origine humaine, le gaz carbonique – scientifiquement dénommé dioxyde de carbone ou CO2 – représente à lui seul les deux tiers des émissions. Il provient principalement de la combustion des énergies fossiles : charbon, gaz naturel, pétrole. Sur la base de l’analyse de la composition de « carottes » de glace polaire ayant emprisonné l’air contemporain de leur formation, on évalue à 30% l’augmentation de la teneur de ce gaz à effet de serre dans l’atmosphère terrestre depuis les débuts de la révolution industrielle, en 1750. Les climatologues ont, par ailleurs, mis en évidence sur des périodes longues de 150 000 ans, la corrélation directe entre l’augmentation de la concentration en gaz carbonique de l’atmosphère et de celle des températures sur terre.

Changer est une nécessité absolue
Si rien n’est fait, les activités humaines continueront de modifier la composition atmosphérique au cours du XXIème siècle, et la concentration de CO2 atteindra en 2100 le triple de ce qu’elle était avant l’ère industrielle.
Cette situation est tout simplement impossible à envisager, compte tenu des implications qu’un tel changement aurait sur les équilibres de la planète.
« Les preuves sont là et ne sont plus discutables. Personne ne pourra plus agir de la même façon » a déclaré Achim Steiner qui dirige le Programme de l’ONU pour l’environnement (PNUE) lors de la présentation des conclusions du rapport du GIEC à Bruxelles en 2007. Hervé le Treut, climatologue au CNRS ayant participé aux travaux résume quant à lui la situation simplement : « On a le choix, a-t-il rappelé en présentant le rapport : un avenir à forte consommation énergétique où le climat sera difficile à maîtriser. Ou un avenir où le changement sera plus maîtrisé. Face aux évolutions du climat prévues par les différents scénarios, le facteur premier sera le comportement humain. »

Quelles sont les conséquences prévisibles du réchauffement climatique ?
L’homme a modifié un équilibre délicat en conséquence de son activité. L’enjeu environnemental est donc le premier défi auquel il doit désormais faire face en limitant l’impact de ses activités sur l’environnement. L’effet de serre en lui-même n’est pas négatif pour la planète. Bien au contraire ! (voir encadré.) Mais en “fonctionnant trop bien“, il nous expose à des conséquences qui affecteront toutes les composantes du climat à l’échelle mondiale. Or l’homme a considérablement modifié son environnement en émettant massivement des gaz à effet de serre (GES). Outre le gaz carbonique, principalement dû à la combustion des énergies fossiles pour satisfaire les besoins de transports, ceux des bâtiments et de l’industrie ; le méthane provenant des activités agricoles et aussi des décharges ; le protoxyde d’azote issu des engrais et de divers procédés chimiques ; et les gaz fluorés – utilisés notamment par les climatiseurs – contribuent à modifier l’effet de serre naturel et induisent le réchauffement climatique.

Les causes du réchauffement
L’augmentation de l’effet de serre est une conséquence de l’activité humaine : la première origine du réchauffement actuel est l’accélération de la demande énergétique depuis la Révolution Industrielle et tout au long du XXème siècle.
 
Les combustibles fossiles contribuent massivement au réchauffement de la planète en déséquilibrant l’effet de serre naturel dont nous bénéficions.
Lutter contre le réchauffement pose donc un autre défi majeur : celui de la gestion de ressources énergétiques raréfiées, auquel nous serons prochainement  confrontés.

 Encadré
Comment fonctionne l’effet de serre ?

Une serre est un bâtiment couvert de vitres, laissant passer la lumière du soleil et emprisonnant la chaleur apportée par ses rayons en l’empêchant de se disperser dans l’air libre. Au sein de l’atmosphère terrestre, il existe des gaz dits “à effet de serre“ qui jouent exactement le rôle des vitres dans notre exemple. Comme elles, ces gaz n’empêchent pas une majorité de rayons solaires d’arriver jusqu’à nous et, comme elles, ils piègent la chaleur, en empêchant le rayonnement infrarouge émis par le sol de repartir vers l’espace.
Les deux gaz à effet de serre les plus importants, même s’il en existe une trentaine recensés, sont parfaitement naturels et sont présents depuis longtemps dans notre atmosphère. Il s’agit de la vapeur d’eau et du gaz carbonique.
L’effet de serre en lui-même est bénéfique pour la planète. Sans le rôle régulateur de ces gaz, la température moyenne de la Terre serait de –18°C, contre 14 à 15°C actuellement.
Ce qui est négatif et dangereux, c’est le risque d’emballement de ce processus naturel. C’est justement cet équilibre qui a été remis en cause par l’apport massif de CO2 dans l’atmosphère terrestre en conséquence des activités humaines.


L’impact du réchauffement climatique

Le rapport Stern (voir encadré) destiné à évaluer le coût du réchauffement planétaire, prône une approche internationale coordonnée pour combattre le changement climatique. Il souligne que les efforts devront être répartis équitablement entre pays riches et pauvres, et suggère ainsi que les pays riches se chargent, d’ici à 2050, de réduire leurs émissions de 60 à 80 % par rapport à 1990.

Lutter contre le réchauffement planétaire offrirait par ailleurs de nouvelles opportunités à l’industrie. Le rapport Stern évalue le marché des produits à faible dégagement de CO2 à au moins 500 Mds de $ par an d’ici 2050.


Encadré
7 000 000 000 000 de dollars au soleil
7 trillions de dollars- soit 5,5 trillions d’euros. C’est le coût prévisible du réchauffement climatique pour  l’économie mondiale, si les gouvernements ne prennent pas de mesures radicales dans les dix ans à venir. C’est en tout cas, l’estimation faite à la demande du gouvernement britannique par Sir Nicholas Stern, ancien chef économiste de la Banque Mondiale. Ce dernier prévient également, dans son rapport de 700 pages publié en 2007, que le nombre de réfugiés, de victimes de la sécheresse ou d’inondations devrait atteindre les 200 millions de personnes.
Selon le rapport Stern, la stabilisation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère devrait coûter d’ici à 2050 1% environ du produit intérieur brut (PIB) mondial. Par contre, si rien n’est fait on peut s’attendre à une réduction de la consommation de l’ordre de 5 à 20%.


 2  - La problématique énergétique

Un risque à l’échelle de la planète.

Le défi de la gestion énergétique
Au-delà des modifications environnementales, un autre défi majeur se pose à la planète : c’est celui de la gestion de l’énergie. Selon l’IEA, l’agence internationale de l’Énergie, la demande mondiale de pétrole devrait en effet augmenter de 66 % dans les 30 ans à venir.
À ce rythme, à l’horizon 2100, les réserves d’énergie connues et supposées –soit 4 000 Gigatonnes équivalent pétrole - seront définitivement épuisées.

Nous entrons donc pour la première fois dans un monde où la production mondiale de pétrole ne s’ajustera plus à l’évolution de la demande, comme ce fut le cas jusqu’à aujourd’hui.

Cela implique à l’évidence de repenser le développement économique et la gestion énergétique à l’échelle mondiale, car plus de 90 % de l’énergie consommée à l’échelle de la planète provient de carburants fossiles, non renouvelables à court ou moyen terme.
Pétrole : 35 %    Gaz : 21 %    Charbon : 24 %    Uranium : 7 %

Avec 4 200 Gigatonnes, le stock actuel supposé des réserves d’énergie fossiles peut certes, sembler encore important. Mais il est de toute façon limité dans le temps : au mieux 20 à 40 ans de consommation pour le pétrole, 60 ans pour le gaz, 400 ans pour le charbon.
L’extinction programmée des réserves, la répartition géographique inéquitable de la demande et des ressources, poseront donc rapidement le problème de la sécurité des approvisionnements, à un moment où il faudra faire face à de prévisibles tensions des prix de l’énergie.
 

À l’aube de tensions et de conflits prévisibles
L’analyse des variations du coût du pétrole brut au cours des trente dernières années ne laisse en effet guère de doute quant aux conséquences à attendre de la raréfaction de la ressource énergétique fossile : tensions géopolitiques majeures et conflits sont à prévoir. Outre un renchérissement du prix du pétrole et du gaz, ces évolutions devraient notamment se traduire par un déclin irréversible de la production de pétrole aux Etats-Unis, avec le “peak-oil“ en point de mire.
Cette expression désigne le moment où la production mondiale de pétrole va atteindre son niveau maximum, avant de connaître un déclin progressif de l’exploitation. Le groupe pétrolier Total estime la survenue de ce pic dans les 20 ans à venir, la production devant alors culminer à 105 ou 100 millions de barils/jour contre 82 millions de barils/jour actuellement.
En attendant, le cours du baril s’est largement maintenu au-dessus du seuil des 50 $ tout au long de l’année 2006.

La limite, nous la connaissons : la planète ne peut vivre au-delà de ses capacités. Pour que chaque homme vive au rythme actuel de consommation, il nous faudrait trois Terres. Encore ne s’agit-il là que d’une moyenne ! La permanence, et même l’aggravation, du non développement économique et social dans certains pays et zones géographiques laissent augurer de risques politiques et sociaux qui viendront encore compliquer la situation générale.


 3 - L’enjeu environnemental et humain

Des conséquences majeures pour toutes les zones climatiques.

Quand l’effet de serre se modifie : les conséquences de l’excès de C02

L’effet de serre naturel est positif pour la vie sur notre planète. Mais, renforcé par l’apport de gaz massif directement lié aux activités humaines, cet effet s’intensifie et induit un réchauffement qui a déjà commencé d’affecter notre vie quotidienne. Il n’est plus désormais question des seules générations futures : les enfants actuellement en maternelle auront à s’adapter à ces évolutions prévisibles au cours de leur vie.
Mais quelles sont-elles vraiment ? Voici un aperçu des principales conséquences auxquelles nous devrons faire face dans les décennies à venir.

 
(source : isolons la terre contre le C02 Institut Pierre Simon Laplace)


L’accroissement des températures
La température moyenne de surface devrait augmenter de 1,4 à 5,8 °C entre 1990 et 2100, soit un taux de réchauffement bien plus important que les changements observés durant tout le XXème siècle. Un phénomène d’une ampleur sans précédent depuis au moins 10 000 ans, et qui se déroule désormais à vitesse accélérée : à l’échelle d’un siècle, voir de quelques dizaines d’années.

Ce réchauffement n’est cependant pas uniforme sur l’ensemble de la planète. Il devrait notamment s'intensifier durant l'hiver dans les régions de hautes latitudes de l'hémisphère nord. Dans certaines régions septentrionales de l'Amérique et de l'Asie et l'Asie centrale, le réchauffement pourrait être de 40 % supérieur au réchauffement moyen de l'ensemble de la planète.

La poursuite de la fonte des glaces
Les glaces de la banquise comme de nombreux glaciers continentaux ou montagneux fondent progressivement. Ce faisant, elles reproduisent à grande échelle un phénomène que chacun peut observer en posant la main sur une pierre blanche et sur une pierre sombre ayant chauffé au soleil : la pierre sombre garde davantage la chaleur. Sans neige, la terre se réchauffe plus vite. Le phénomène peut s’emballer. Un récent rapport de l’Artic Climate Impact Assessment (ACIA) met en évidence une réduction de 10 % de la surface de la Banquise durant les trente dernières années. À ce rythme, elle aura totalement disparu en été d’ici 100 ans.


Des régimes de précipitation modifiés
La concentration moyenne de vapeur d'eau dans l'atmosphère et les pluies devraient augmenter au cours du XXIe siècle. Mais les précipitations se répartiront de façon irrégulière sur la planète. Première conséquence : une augmentation de la fréquence des phénomènes extrêmes comme les sécheresses, les fortes précipitations ou les inondations.
On prévoit un dérèglement probable de la mousson d’été en Asie et un quart du continent africain pourrait souffrir de graves pénuries d’eau en lien avec une forte réduction des précipitations.

La hausse du niveau des mers et océans
L'élévation prévue du niveau moyen des océans est estimée entre 9 et 88 cm, selon les modèles, avec de grandes disparités locales. Certains deltas, lagunes et régions littorales sont directement menacés d’être submergés, et en particulier une grande part de la frange littorale française. Dans le Monde, on estime à 250 millions le nombre de réfugiés climatiques potentiels, directement concernés par cette montée des eaux.

Des courants marins perturbés
La fonte massive des glaciers du Groënland se traduit par un important apport d’eau douce dans l’océan Atlantique Nord. Celui-ci est suspecté de pouvoir, à terme, bloquer le Gulf-Stream, ce courant marin chaud qui adoucit les hivers d’Europe du Nord. Paradoxalement, le réchauffement planétaire induirait, en stoppant ce courant marin, un refroidissement de l’Europe du Nord avec de nombreux effets sur la faune et la flore marines et l’exploitation des océans.

De nouveaux enjeux de santé publique
L’élévation des températures favorisera une augmentation des maladies infectieuses et parasitaires (paludisme, dengue, fièvre jaune notamment). Les épidémies, dont la propagation est facilitée par les moyens de transports modernes, risque d’affecter des millions de personnes. Les risques de canicule, comme celle qu’a connu l’Europe en 2003 seront également multipliés.

La biodiversité en péril
Plantes et animaux sont déjà affectés par le réchauffement climatique. Les aires d’habitat changent, certaines floraisons sont plus précoces. Dans l’hémisphère nord, 1°C d’élévation des températures se traduit par un déplacement de 150 km vers le nord des espèces acclimatées. Selon certains scénarios, on estime à 1 million le nombre d’espèces qui pourraient disparaître d’ici à 2050.

En France, ces changements impacteront directement

Les zones de montagne
Dans les Alpes occidentales, l’augmentation du niveau des températures pourrait être supérieure à la moyenne française. La réduction de la couverture neigeuse accroîtra la sécheresse estivale et le risque d’incendie. On craint aussi des glissements de terrain et des flux de boue et une modification de la faune et de la flore alpine.

Le tourisme
Manque d’eau, disparition possible des plages de sable, diminution de l’enneigement, freins mis au développement des transports individuels sont autant de conséquences redoutées par l’industrie du Tourisme. Mais les conséquences sont à nuancer localement. Elles peuvent s’avérer positives pour certains.

La santé
Le réchauffement touche en priorité les personnes sensibles ou fragilisées, comme l’a montré la canicule de 2003. Les experts prévoient ainsi un impact grandissant des maladies cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires, mais aussi une fréquence accrue des maladies respiratoires, des lithiases (calculs urinaires), des naissances prématurées, des troubles psychiques. On redoute également une augmentation du risque d’intoxications alimentaires et de contamination par les systèmes de climatisation (légionellose), ainsi qu’une plus grande fréquence des maladies à vecteur. Par ailleurs, de manière générale, la zone d’impact des maladies tropicales devrait se déplacer  vers le Nord.

Tous ces changements climatiques dus aux activités humaines persisteront pendant plusieurs siècles.

 4 - Agir aujourd’hui pour demain

Défi écologique, humain, énergétique : il y a urgence à agir. Mais que faire concrètement ?

Des effets irréversibles
Le caractère irréversible des effets climatiques liés à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre est avéré. Les rejets mondiaux de CO2 sont actuellement de 350 à 360 parties par millions (ppm). À l’horizon 2100 si aucune mesure n’entre en vigueur, nous atteindrions des niveaux situés entre 540 et 970 ppm.
En agissant aujourd’hui et en tenant compte de l’augmentation croissante de la demande en énergie, on peut au mieux espérer maintenir à l’horizon 2020 les niveaux actuels d’émission.
Compte tenu de l’inertie lié aux phénomènes en jeu, même en prenant des mesures adaptées aujourd’hui, l’humanité devra faire face à une augmentation des températures pendant plusieurs années. Le retour à l’équilibre originel du système, n’est quant à lui envisageable qu’à l’horizon de plusieurs siècles.


Encadré
Les puits de carbone : des alliés fragiles ?

La totalité du gaz carbonique émis sur terre qu’il soit d’origine naturelle ou humaine ne s’accumule pas dans l’atmosphère. Une partie est en effet stockée dans ce que l’on appelle les “puits de carbone“. Il s’agit concrètement des océans, des sols, des êtres vivants et principalement de la végétation. Tous absorbent une partie du carbone émis. Ainsi, sur les 6 Gigatonnes émis annuellement par la combustion du pétrole et du charbon -et dans lesquels la déforestation pèse pour 1,5 Gt- la moitié environ est stockée dans les puits de carbone. Certains scientifiques craignent cependant que les changements climatiques en cours affectent la capacité des sols et de la végétation à continuer de jouer ce rôle régulateur. Si jamais les puits de carbone se transformaient en source de carbone, comme cela a été observé localement pour certains végétaux, on pourrait alors assister à un emballement des gaz à effet de serre, et donc du réchauffement climatique.
Source : ADEME/Gaz de France/Comité 21-la lutte contre les changements climatiques


Agir : réduire nos consommations et notre impact sur l’environnement et le climat

Peut-on véritablement enrayer l’augmentation des émissions de CO2 dans l’atmosphère ? Il est en tout cas possible – et urgent – d’influencer le niveau des émissions de CO2 en agissant sur notre maîtrise des énergies renouvelables et la capture de CO2.

Maîtriser l’énergie
Tirant les leçons d’un passé qui nous a fait consommer en un siècle les réserves de carburants fossiles que la nature a mis des milliards d’année à constituer, l’enjeu est aujourd’hui de trouver des solutions efficaces et pérennes permettant de consommer mieux en dépensant moins.
Il nous faut pour cela repenser à toute une série de gestes quotidiens : rouler moins vite, éteindre les lumières inutiles, bien isoler son habitation, utiliser des équipements ménagers sobres en énergie. Une famille peut ainsi réduire très sensiblement sa facture d’énergie en appliquant quelques règles simples comme, par exemple, maintenir le chauffage à une température de 19°C dans les pièces à vivre, prendre une douche plutôt qu’un bain, utiliser des lampes base consommation…

Dans l’industrie, l’amélioration des procédés de fabrication est une voie porteuse pour économiser l’énergie. L’allègement des véhicules grâce aux nouveaux matériaux, la recherche de nouvelles motorisations plus sobres permettent de réduire les consommations. Mais privilégier les transports en commun et laisser son véhicule au garage reste encore le meilleur moyen d’économiser du carburant.

Développer les énergies renouvelables.
Eolienne, solaire, hydraulique, géothermique, biomasse : toutes ces sources à énergie ne dégagent pas de gaz à effet de serre. Mais elles ne pèsent aujourd’hui qu’à hauteur de 14% de la production énergétique mondiale (11% pour la biomasse). L’Union Européenne s’est fixé comme objectif de porter à 21% la part des énergies renouvelables dans sa consommation d’électricité en 2010, contre 13% en 2000.

Capturer le CO2
Piéger le CO2 produit par les grandes industries pourrait s’avérer une piste intéressante pour l’avenir. De nombreuses recherches sont en cours pour mettre au point des procédés de capture. Mais ces solutions seront de toute façon inutiles sans un important effort de maîtrise de l’énergie dans nos modes de consommation et de production.

Des actions à mener au niveau national et international
La lutte contre le changement climatique est un enjeu majeur du XXIème siècle et présenté comme tel par la XIème conférence des Nations Unies sur le changement climatique qui s’est tenue en 2005 à Montréal. La France a fait, depuis 2001, de la lutte contre l’effet de serre et la prévention des risques liés au réchauffement climatique une priorité nationale.

Le protocole de Kyoto, signé en 1997 a pour objectif de contraindre les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Il prévoit, pour la période 2008-2012 que les émissions de gaz à effet de serre réduisent de 5,2 % par rapport à 1990. Ratifié par la Russie à la fin de 2004, le Protocole de Kyoto est entré en vigueur en février 2005.
La France s’est dotée en 2000 d’un programme National de Lutte Contre le Changement Climatique devenu Plan Climat en 2004. Ce document regroupe l’action de tous les secteurs de l’économie et de la vie quotidienne des Français afin de réduire les émissions de GES.

En l’absence d’un changement radical de nos pratiques, les évolutions climatiques mais aussi énergétiques font converger tous les modèles de développement vers une véritable impasse pour la seconde moitié du XXIème siècle. La conjonction de l’épuisement des ressources énergétiques fossiles et des conséquences du réchauffement climatique affecteront sévèrement la vie des habitants de la Terre. Les possibilités de notre planète sont finies : il s’agit désormais d’adapter nos comportements à cette évidence en réduisant par deux les émissions mondiales actuelles. Nous en avons encore les moyens. Il est essentiel de mettre en place immédiatement des actions correctives de modifier nos comportements et nos modes de vie et de remettre en cause nos modèles de développement.


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keywords MOTS-CLEFS: ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
 2008-février / France/Enjeux de la construction/développement durable

Guide Isover de la qualité environnementale des bâtiments-2008-février
communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.
3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)
par Bruno Cargnelli pour Sequoïa Image Force/Isover

interviewesPERSONNES CITEES: (fev 2008)
rapport Stern
































 interviews, reportages et rédaction Bruno Cargnelli pour
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Comment sortir de l’impasse environnementale et énergétique ?
Réagir efficacement implique de relier risque environnemental, énergétique, et les conséquences des risques de graves crises sociales comme des tensions géopolitiques majeures prévisibles. Cela impose que nous apportions des modifications sensibles de nos comportements et habitudes. Aujourd’hui, 20 % des hommes consomment 86 % des ressources terrestres, et en analysant les graphiques suivants, qui présentent la répartition de la consommation d’énergie et des émissions de dioxyde de carbone en fonction des types de pays …
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Développement durable et bâtiment
Le concept de développement durable, qui comprend la prise en compte de l’environnement, l’économie et de l’équité sociale dans tout projet, s’applique à tous les secteurs économiques, et en particulier à celui du bâtiment.
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Des méthodes et des outils au service de la préservation de l’environnement
Faire évoluer les techniques constructives en réponse aux enjeux planétaires et intégrer pleinement la logique du développement durable
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Partie 2 : Les réponses Isover /Chapitre 1 : Isover s’engage résolument pour le respect de l’environnement
Conçus à base de matériaux naturels et recyclés, bénéficiant de process de fabrication respectueux de l’environnement et en optimisation constante, les produits et solutions du leader mondial de l’isolation sont également évalués aux plans sanitaire et environnemental. Au sein d’Isover, tout est fait pour garantir la qualité des produits, limiter l’impact environnemental, et permettre aux occupants de vivre dans 

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Guide de la qualité environnementale des bâtiments
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Produits et solutions Isover pour réduire la demande énergétique des bâtiments
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Chapitre 2 :Réduire la demande énergétique des bâtiments avec les produits et solutions Isover
1 Isoler, c’est réduire sa consommation énergétique, préserver l’environnement… et aussi bénéficier d’un confort thermique incomparable !
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Guide de la qualité environnementale des bâtiments
2eme partie- chap 3
Les laines de verres
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Chapitre 3 :Les laines de verre Isover et l’environnement
1 - Le cycle de vie des laines minérales
Depuis 1994, Isover a eu une démarche pionnière en réalisant des Analyses de Cycle de Vie –ou ACV- de ses produits. La prise de conscience accrue de l'importance de la protection de l'environnement et des impacts possibles associés aux produits, tant fabriqués que consommés a augmenté l'intérêt pour le développement de méthodes destinées à mieux comprendre et à remédier à ces impacts.

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EDITO Catalogue Produits 2008
fev 2008 ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
 2008-février / France/Enjeux de la construction/développement durable

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)
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Économiser l’énergie, préserver l’environnement, vivre confortablement
Ma planète se réchauffe, mais que faire concrèterment? Économiser l’énergie, préserver l’environnement, vivre confortablement Saint-Gobain Isover, partenaire des actions engagées dès les années 1990 en vue de la promotion d’un mode de développement durable, membre de différents groupes de réflexion mis en place dans ce cadre, apporte sa contribution au débat. ...
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communiqué de presse
partenariats solutions basse consommation énergétique
sep 2007 ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
 2007-septembre/ France/développement durable/innovations/partenariats/maison basse consommation énergétique

2024 mots  / 13251 signes (8,8 feuillets)

Maisons à basse consomamtion énergétique
Isover est partenaire de deux initiatives permettant de proposer aujourd’hui des constructions basse consommation conformes aux standards les plus exigeants et accessibles à tous les budgets.Isover est le partenaire naturel de toutes les initiatives visant à la réduction conjointe…
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communiqué de presse
Parution du catalogue Produits et solutions 2007
3 fev 2007 ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
 2007-février/ France/développement durablecatalogue /innovations/ produits et solutions d'isolation Isover

470 mots  / 3308 signes (2,2 feuillets)
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 Le nouveau catalogue « Produits et Solutions » Isover 2007 est paru.
Depuis 70 ans, Isover constitue la référence en matière d’isolation, et propose des solutions innovantes, adaptées aux préoccupations du moment.  Avec ses synthèses et ses informations pratiques pour choisir et mettre en œuvre une solution d’isolation performante et écologique, le nouveau catalogue Isover 2007 deviendra vite indispensable à tous ceux qui visent l’efficacité en matière d’isolation thermique et ....
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faire construire sa maison
3 dec 2007 INTERNATIONAL / ENTREPRISE / RH/ 2004-novembre/ France/stratégies de recrutement à l’international

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)
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Une nouvelle étude Référentiels Métiers de l’APEC, consacrée aux métiers des ressources humaines vient de paraître. Elle confirme largement le rôle de plus en plus stratégique joué par la fonction RH au sein des entreprises. En parallèle, répondre aux nouveaux enjeux impose de nouveaux ...
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communiqué de presse Guide "L'acoustique des bâtiments - édition 2006
sep 2006 ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
 2006-septembre/ France/acoustique/ guide//innovations/produits et solutions d'isolation Isover


556 mots  / 3791 signes (2,5 feuillets)

   Guide « L’acoustique du bâtiment » Isover
Nouvelle édition de l’ouvrage de référence en matière d’isolation et de correction acoustique
La nouvelle édition du guide Isover consacré à l’acoustique du bâtiment vient de paraître. Pratique, clair et complet, émaillé d’encadrés synthétiques et agrémenté de graphiques et de données clés, c’est une vraie mine d’informations. Il deviendra rapidement indispensable à  ...
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communiqué de presse Optima murs Batimat 2007
sep 2007 ENVIRONNEMENT / CONSTRUCTION / ISOLATION DES BÂTIMENTS/
solutions techniques / maison basse consommation énergétique /  faible émissions de gaz à effet de serre / Batimat 2007 /Isover

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)

  Les nouveaux enjeux de la fonction RH
Une nouvelle étude Référentiels Métiers de l’APEC, consacrée aux métiers des ressources humaines vient de paraître. Elle confirme largement le rôle de plus en plus stratégique joué par la fonction RH au sein des entreprises. En parallèle, répondre aux nouveaux enjeux impose de nouveaux ...
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Catalogue Produits & solutions2007
informations générales réglementation thermique 2005
mar 2007 Catalogue Produits & solutions 2007 /Isover

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)

Le nouveau cadre réglementaire : la réglementation thermique  2005
La réglementation thermique 2005 (RT 2005) est entrée en vigueur en septembre 2006. Pour le secteur de la construction, elle représente, dans la continuité de la RT 2000, la traduction concrète des engagements pris à Kyoto pour réduire les émissions polluantes. La nouvelle réglementation marque une nouvelle étape. Elle met l’accent sur la qualité du bâti, exige de meilleures performances d’isolation pour toutes  ...
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Espace
12 sep 2005 construction Musée du quai Branly à Paris / isolation des toitures / produits et solutions  Dow / Isover

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)

Les nouveaux enjeux de la fonction RH
Une nouvelle étude Référentiels Métiers de l’APEC, consacrée aux métiers des ressources humaines vient de paraître. Elle confirme largement le rôle de plus en plus stratégique joué par la fonction RH au sein des entreprises. En parallèle, répondre aux nouveaux enjeux impose de nouveaux ...
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Solutions
12 sep 2005 construction Musée du quai Branly à Paris / isolation des toitures / produits et solutions  Dow / Isover

3630 mots  / 23 442 signes (15,6 feuillets)

Les nouveaux enjeux de la fonction RH
Une nouvelle étude Référentiels Métiers de l’APEC, consacrée aux métiers des ressources humaines vient de paraître. Elle confirme largement le rôle de plus en plus stratégique joué par la fonction RH au sein des entreprises. En parallèle, répondre aux nouveaux enjeux impose de nouveaux ...
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