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Bruno
Cargnelli LIRE UN ARTICLE liste des principaux articles rédigés pour AGF
assurances générales de France…
rédaction, journalisme(1999-2001) L'Agence
réseaux
Collaboration
régulière à AGF Magazine magazine
interne à destination des réseaux
salariés et
courtage, et à sa déclinaison informatique
"AGF
I", destinée à diffuser une culture
informatique basique.
Documents
d’information et de suivi de la fusion Allianz / AGF / PFA
intérêt / avantages concrets
Publication
d’une série d’articles sur
l’impact du passage
à l’an 2000 et à l’euro
  
AGF
MAGAZINE
n° 7
jan 2000
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Tempêtes: l'état de choc
Tout
le monde attendait le "bug"… mais ce sont les 2 tempêtes
de décembre qui auront marqué le passage à l'an 2000. Toits
arrachés, arbres déracinés, tuiles
envolées, véhicules endommagés ou détruits:
toute la France a été touchée. Plus grave,
près de 80 personnes auront perdu la vie au cours de ces
"tempêtes du siècle".
Pour
les agents, avec un nombre record de déclarations de sinistres,
il n'y a pas eu de trêve des confiseurs cette année. Mais,
s'appuyant sur les consignes de souplesse et les informations fournies
par la Compagnie, ils ont su faire face, accompagnant leurs
clients dans ces moments difficiles. Enquête sur le terrain.
Une semaine
après la tempête du 26 décembre dernier, l'Eure
était encore en état de choc. Des villages entiers, avec
leurs habitations endommagées, restaient coupés du monde.
Pour beaucoup d'habitants privés d'électricité,
d'eau et de téléphone, et devant faire face aux
inondations, le réveillon de l'an 2000 aura en fait
ressemblé à un retour au XIX° siècle.
Proximité
Dans ce
contexte, on a vu ressurgir des réflexes de solidarité
qu'on aurait parfois pu croire oubliés. Mais c'est à une
population traumatisée que les agents ont dû
répondre. «Être présent à l'agence,
recevoir les clients était absolument essentiel, explique Michel
Moulette, agent AGF à Pacy s/ Eure, qui dispose de deux autres
implantations à Mantes-la-Jolie et Oudan. Dans chaque village,
des sinistres de plus ou moins grande importance ont été
enregistrés, et notre rôle a consisté avant tout
à rassurer nos clients, les écouter, et jouer notre
rôle d'interlocuteur de proximité. Un rôle
essentiel, surtout en milieu rural, que j'ai pu assurer grâce
à une gestion des sinistres en direct.»
Dès
le dimanche 27 au matin, constatant l'étendue des
dégâts, Michel Moulette décide de passer à
l'agence pour brancher un répondeur donnant les premières
instructions, et invitant les personnes sinistrées à
reprendre contact le lendemain. «Dès la matinée du
lundi 27, nous avons fonctionné en cellule de crise: je
recevais les assurés désirant parler de leurs
problèmes, et ai visité certains sites
particulièrement touchés, notamment des exploitations
agricoles où les récoltes, exposées à la
pluie, nécessitaient des interventions d'urgence, reprend Michel
Moulette. Une collaboratrice, Michèle Descamps,
assurait à l'agence la gestion des déclarations et
la prise d'appels ».
Mais
paradoxalement, la journée de lundi fut plutôt calme,
chacun tentant de faire des réparations de fortune. Le
véritable rush est intervenu mardi matin.
À
Paris, Simon-Charles Benabou, agent PFA, a lui aussi ouvert l'agence de
8:30 à 21:00 le lundi, jour habituel de fermeture.
«Nous avons reçu une centaine d'appels au cours de la
journée, déclare-t-il. Et il nous a fallu répondre
à toutes sortes de questions, certains clients,
désespérés, nous demandant par exemple si nous
connaissions des couvreurs. Notre priorité était
clairement de montrer que nous étions à leurs
côtés et de parer au plus pressé. Cela a
été, je crois, très apprécié,
même lorsque nous ne pouvions apporter de réponse
immédiate». En tout, plus de 100 déclarations de
sinistres ont été enregistrées en trois jours.
Les agents sont unanimes: ils ont tous été frappés par la dignité des personnes touchées
«Tous
ou presque ont compris le caractère exceptionnel de la
situation, reprend Michel Moulette. Chacun a pensé que d'autres
avaient été plus gravement touchés.»
Pas de calme après la tempête
Plus
à l'Ouest, à Rouen, où la tempête a
entraîné la chute d'un des clochetons de 27 tonnes de la
Cathédrale, Jean-Claude Monin, agent Allianz a également
fait face. Une semaine après le sinistre, il estime avoir
reçu 80% des déclarations, mais s'attend à une
deuxième vague, liée aux constats dans les
résidences secondaires et aux retours de vacances. «Les
sinistres sont très nombreux, mais relativement limités,
même si, compte tenu de la saison, ils sont très
gênants pour nos assurés, explique-t-il. Après la
phase d'urgence, il nous faut désormais relayer des informations
plus techniques, car nos clients ne font pas tous la distinction entre
la tempête et l'état de catastrophe naturelle. Nous avons
donc un effort de communication à mener pour expliquer les
différences dans les garanties. Mais l'impact financier ne
devrait pas être considérable, car le niveau des
franchises est sensiblement identique.»
Agent PFA
à Paris, M. Matuive a enregistré près de 150
déclarations de sinistres en une semaine. «90% d'entre eux
entrent dans le cadre du seuil de 25 kF explique-t-il, mais nous aurons
à gérer quelques dommages beaucoup plus
importants». Seule "bonne" surprise pour la plupart des
agents: la faiblesse des dégâts subis par les entreprises.
«La
gestion de l'après tempête sera assez lourde, mais les
dispositions exceptionnelles prises par le groupe, la
réactivité dont il a fait preuve dans la diffusion
d'information, les échanges que j'ai pu avoir avec Aline Baudin,
de la Direction Paris-Nord nous ont permis d'être très
réactifs, reprend M. Matuive.»
Globalement,
dans cette situation exceptionnelle, les attentes de la
clientèle ont été bien comprises et satisfaites.
À
Versailles, Frédéric Tavernier, agent AGF insiste lui
aussi sur cet aspect. «Heureusement, nous sommes plutôt
dans une période creuse, ce qui nous permet de nous consacrer
à la gestion des sinistres, déclare-t-il. Grâce au
dispositif des transactions de gré à gré, 90%
d'entre eux devraient pouvoir être rapidement
réglés. Surtout, les dispositions prises à titre
exceptionnel nous ont permis de jouer pleinement notre rôle
d'assureur, d'être véritablement aux côtés de
nos clients, et d'instaurer des liens durables.»
encadré
Dispositions exceptionnelles
Dès
le lundi 27 décembre, le groupe AGF informait les agents de la
mise en place de dispositions exceptionnelles dans le cadre de la
gestion des sinistres liées à la tempête.
Principales mesures prises: l'instauration d'un seuil de 25 000 F en
dessous duquel les réparations sont effectuées
directement, et remboursées de gré à gré
sur présentation de justificatifs (photos et devis) moyennant
l'application d'une franchise, délais de déclarations
portés à 10 jours au lieu de cinq, et prise en charge
exceptionnelles de certains dégâts, comme ceux
causés aux habitations par projection d'arbres
déracinés.
Des
dispositions qui ont permis aux agents d'apporter rapidement des
solutions concrètes aux assurés, et d'affirmer la
présence de la Compagnie aux côtés des
sinistrés à l'occasion de cet événement
exceptionnel.
Article n°2
Plates-formes téléphoniques: le rush!
Dans la
semaine du 26 au 30 décembre dernier, la plate-forme
téléphonique Indemnisation de Tours a répondu en
moyenne à 450 appels/jour, soit le triple de ce qu'elle assure
habituellement. «Encore s'agit-il seulement des appels que nous
avons pu prendre, insiste Sylviane Chatelus, manager. Car
beaucoup restaient en file d'attente. C'est seulement à partir
du 5 janvier que nous avons pu passer à la phase de traitement
des sinistres». Des toitures soufflées nécessitant
le relogement des personnes touchées jusqu'à la
destruction… de la niche du chien, en passant par les antennes
télé et, surtout, les arbres déracinés,
l'équipe réduite de 10 personnes, au lieu de 22
habituellement présente durant la période des fêtes
a tout vu et tout entendu. «Nous avons dû faire face
à des situations dramatiques et répondre à des
personnes traumatisées, reprend Sylviane Chatelus, ce qui
rallongeait d'autant la durée des appels. Les collaborateurs en
vacances pendant les fêtes ont cependant été
solidaires, et certains ont abrégé leurs congés
pour venir en renfort alors que cela n'était pas prévu.
Deux intérimaires seront recrutés prochainement,
afin de traiter les dossiers. 4 à 5 mois seront
nécessaires pour répondre à toutes les
demandes, même si 80% des dossiers correspondent à des
sinistres mineurs.
Personnel AGF: autant touché, aussi inquiet.
«En 3
jours, nous avons ouvert 600 dossiers de sinistres concernant le
personnel AGF, constate Paul Milia, responsable des affaires du
Personnel. 1000 appels ont été passés le 27
décembre, et 900 le 28 sur le n° Azur… alors que nous
n'étions que 4 personnes, en cette période de
fête.» Une activité qui a valu à la
plate-forme les honneurs du journal télévisé, mais
qui s'est surtout traduite par un débordement chronique.
«Les demandes ont été enregistrées dans une
base spécifique, et nous avons conseillé à nos
interlocuteurs d'effectuer les réparations, et d'envoyer
directement les factures jusqu'à 10 kF. Cela a permis de faire
face aux urgences». Surchargés, les
téléopérateurs ont fait de leur mieux pour
répondre aux questions les plus diverses, et rassurer leurs
interlocuteurs.
          LIRE UN AUTRE ARTICLE
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MOTS-CLEFS: SOCIETE / ENVIRONNEMENT / FINANCES / 2000-janvier
France/conséquences tempêtes 1999/bilan
assureurs:état des lieux/gestion des sinistres/dispositions
spécifiques/reportage terrain (Normandie)
dossier in AGF Magazine num.7-2000-janvier
communication
interne-bimestriel,tirage: 40000ex.
1439 mots / 8700 signes
(5,8
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances
générales de France (services
financiers/assurances)
PERSONNES CITEES: (jan 2000)
Michel Moulette, agent AGF à
Pacy
sur Eure (27,Eure)
Simon-Charles Benabou, agent PFA à
Paris (75,Paris)
Jean-Claude Monin, agent Allianz à Rouen (27,
Eure)
Frédéric Tavernier, agent AGF à
Versailles (78,
Yvelines)
Michel Matuive Agent PFA à Paris; Paul Milia,
responsable des affaires du Personnel des AGF
Sylviane Chatelus,
manager plate-forme téléphonique indemnisation
des AGF
à Tours.
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interviews, reportages et rédaction Bruno Cargnelli pour

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par défaut :articles triés par date décroissante
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Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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5 |
sep 1999 |
INTERNATIONAL / ECONOMIE/COMMERCE / CONJONCTURE / 1999-septembre
Amérique du Sud/Venezuela/marché de
l’assurance/Adriatica de Seguros, filiale AGF
Allianz/pétrole Orénoque |
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> Venezuela
Croissance dans un pays en crise
Fondée initialement, en 1952, par Riunione Adriatica di Sicurta,
une compagnie italienne, Adriatica de Seguros est devenue filiale
d'Allianz depuis une quinzaine d'année. Aujourd'hui, dans un
Venezuela en crise, elle a réussi à s'imposer, notamment
auprès de grandes entreprises industrielles. Celles-ci
représentent près de 70% de son chiffre d'affaires
en 1998. Mais Adriatica, dont le logo représente un hexagone sur
fond bleu qui rappelle étrangement celui des AGF, a
également d'autres ambitions.
1995: la crise bancaire frappe le Venezuela de plein fouet. Le pays
entre dans une récession profonde, dont il n'est, aujourd'hui,
pas encore sorti malgré les déclarations volontaristes du
très controversé président Chavez. L'inflation
atteint des sommets, dans un climat marqué par une grande
instabilité politique. C'est pourtant cette même
année que Max Thiermann, nouvellement nommé à la
tête d'Adriatica de Seguros, choisit de mettre à profit
afin de démarcher de grandes sociétés
industrielles. Celles-ci sont en effet quelque peu méfiantes
vis-à-vis des compagnies locales, très affectées
par la crise bancaire.
Il mènera cette action avec l'appui marqué de la filiale
brésilienne, et du groupe dans son ensemble.
«Jusqu'à cette date, nous nous étions
essentiellement concentrés sur le marché de
l'assurance-vie et l'IARD individuelle, explique le Directeur de la
filiale. À partir de 1995, nous avons cherché à
construire un véritable portefeuille de compagnies
industrielles, en assurance directe ou réassurance pour des
risques tels que les tremblements de terre, l'incendie, ou la
conception des sites de production». Alcatel, des banques
locales, Coca-Cola, Elf-Atochem, Olivetti, L'Oréal et autres
Rhône-Poulenc vont rapidement comprendre l'intérêt
de souscrire leurs contrats auprès d'une compagnie
adossée à un groupe solide. La stratégie
s'avère payante. Elle permet à la filiale des AGF de se
classer, en 1998, au cinquième rang dans le pays, avec 6,6% de
parts de marchés, sur les talons de la quatrième
compagnie Orinoco.
Réorientation stratégique
Cette réorientation s'est avérée
stratégique, car après près de 10 ans de
débats et de promesses, l'ouverture du marché de
l'assurance Santé individuelle aux compagnies
privées continue d'être repoussée. Le premier
projet de la sorte date déjà de 1989, lors du premier
mandat du président Chavez. Face aux dysfonctionnements nombreux
de la sécurité sociale, dont pâtissent les 23
millions de Vénézuéliens avec philosophie,
celui-ci s'était engagé à libéraliser le
marché. Il n'eut cependant pas le temps d'entériner une
telle décision avant sa destitution par le parlement.
Attendant de profiter de l'hypothétique entrée en vigueur
de cette mesure -un nouveau projet est à l'étude -,
Adriatica de Seguros , est d'ores et déjà, bien
implantée à travers le pays. Le siège, basé
à Caracas, est en lien constant avec les 10
délégations basées dans les principales villes
vénézueliennes, par le biais d'un réseau
informatique performant. Celui-ci permet la mise à jour des
informations en temps réel, et donc un fonctionnement
décentralisé.
Sur le terrain, les 380 employés d'Adriatica de Seguros sont
relayés par une centaine d'agents exclusifs et près de
700 courtiers et agents non exclusifs qui distribuent ces produits.
Disposant d'une bonne notoriété, la filiale
réalise 1/3 de son chiffre d'affaires grâce aux
assurances auto, et 22% en IARD. Dans les 50% restants, les assurances
santé et vie ne représentent que 6% du CA de la compagnie
en 1998… contre 29% en moyenne entre 1995 et 1997. «Cette
baisse en pourcentage ne correspond pas à un recul de la filiale
sur ce marché, précise Max Thiermann. Elle est le fruit
de notre action ciblée auprès des entreprises, qui a
considérablement augmenté notre CA , réduisant
d'autant la part de l'assurance-vie qui, elle, est restée stable
ou en légère diminution du fait de la crise».
Dans un pays en crise profonde, Adriatica de Seguros a réussi le
double pari de croître en diversifiant ses activités, et
de préparer l'avenir. Car avec des richesses minières
encore inexploitées, mais aussi des paysages qui
séduisent de plus en plus les touristes et voyageurs du monde
entier, le Venezuela reste, au delà des problèmes
actuels, un pays d'avenir.
Ouragans… et tremblements de terre
Le Venezuela - y compris l'île de Margarita, située dans
les Caraïbes - n'est pas situé dans la zone où les
risques de cyclones et ouragans sont les plus élevés.
Cette "Ceinture des Cyclones" , centrée sur les Caraïbes et
qui s'étend jusqu'en Floride, n'affecte pas le pays, qui a
d'ailleurs été épargné par le dernier en
date: le Cyclone Mitch.
Par contre, le tremblement de terre de 1967, qui fit des
dégâts assez importants à Caracas, la capitale, est
encore dans les mémoires. De même que celui de 199, de
grande magnitude, mais qui eut heureusement lieu dans l'Est du pays,
une région non habitée.
encadrés
Or noir en Orénoque
Il ne s'agit pas du titre d'un épisode inédit des
aventures de Tintin, mais bien de ce qui reste une ressource majeure du
pays. La découverte de gisements encore inexploités en
Orénoque a attisé récemment les convoitises de
toutes les compagnies pétrolières de la planète.
Mais si le pétrole représente encore + de 40% du PNB
national, l'or noir n'est plus ce qu'il était. Après une
phase euphorique qui a permis le développement du pays et la
construction de grandes infrastructures dans les années
1950-1960, la crise des années 70 a sonné le glas de la
rente pétrolière pour le Venezuela. Le gouvernement a
alors décidé de nationaliser les sites de production.
Résultat: un gouvernement de plus en plus riche face à
une population de plus en plus pauvre, ne bénéficiant pas
de ces entrées d'argent frais. Corruption, destitution de
présidents, coups d'états avortés,
émeutes… la vie politique vénézuelienne a
été agitée ces dix dernières années.
Dans ce contexte Adriatica de Seguros, a cependant su s'imposer
auprès de grandes compagnies en proposant des contrats
adaptés. Avec les vénézueliens, elle attend
quelque peu résignée, la promulgation d'une nouvelle
constitution, qui devrait clarifier la situation.
C'est du moins ce que tout le monde espère, tout en se préparant à de nouveaux rebondissements.
Le Venezuela en chiffres
Superficie: 917 000 km2
Capitale: Caracas, qui comme la plupart des grandes villes est située sur la côte
Population: 23 millions d'habitants
PNB 90 Mds US$
PNB/tête: 4 000 $/personne/an. C'est à dire le même
niveau qu'au début des années 1970: instabilité
politique et crise économique sont passées par là!
Croissance: +0,5% en 1998.
1999 devrait marquer le retour de la récession: on
prévoit une croissance négative de l'ordre de -7%
à -9%
Inflation: +30% en 1997. Cette année, elle devrait se situer aux alentours de +20 à +25%
Principales ressources du pays:
- pétrole: exploité depuis les années 30, il
représente la moitié du PNB et 2/3 des exportations du
pays.
- minerai de fer et bauxite
- gaz naturel
- hydro-électricité
- tourisme
————————————————————————————————
article in AGF Magazine num.5-1999-septembre (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
1187 mots / 7000 signes (4,7 feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES: (fev 2008) (sep 1999) Max Thiermann, Directeur d'Adriatica de
Seguros
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Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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6 |
nov 1999 |
ENTREPRISE / NOUVELLES TECHNOS / FORMATION / 1999-novembre
France/informatique/fusion Allianz-Agf-Athena (3A)
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> Formation
Les Centres de formation font leur révolution culturelle
Destinées à l'ensemble des collaborateurs d'AGF
Assurances, les stages de formation ont subi une refonte en profondeur.
Objectif recherché: le développement des convergences
entre les trois réseaux, et la préparation du
lancement, dès le début de l'année prochaine, de
produits communs. Le signe le plus tangible de cette
"révolution" est sans conteste la création d'un nouveau
Centre de Nogent-sur-Marne, qui fonctionnera en synergie avec celui,
existant, du Pontet.
«La direction de la formation a été
créée lors de la mise en place d'AGF Assurances, avec un
triple objectif, explique Marc Burckel, Directeur de la formation. Il
s'agit, d'une part de nous adapter à la réalité de
la nouvelle organisation , avec le fonctionnement
décentralisé des six régions et, dans le
même temps, de rentrer rapidement dans une phase
opérationnelle autour du lancement, en fin d'année, du
premier produit commun: Tellus, contrat d'assurance-vie multisupport.
Enfin, toujours dans une logique opérationnelle, il s'agit de
préparer et mettre en place les formations pour l'année
2000».
"Creuset de convergence"
Au cours du dernier trimestre 1999, 300 inspecteurs commerciaux
assurance dommages et personnes (ICAD et ICAP), ont ainsi suivi un
stage dont l'objectif était de préparer la mise en place,
dès le premier janvier 2000 des circonscriptions AGF/PFA et
Allianz. Des stages qui, outre les aspects opérationnels mettent
également l'accent sur l'appropriation des "cultures"
préexistantes au sein des trois réseaux.
Outre la dimension opérationnelle, les nouvelles
formations revêtent une dimension culturelle marquée:
« il s'agit de contribuer au rapprochement des modes de
fonctionnement des trois réseaux, en devenant un
véritable creuset de convergence»insiste Marc Burckel.
Concrètement, les formations seront désormais
dispensées dans deux centres de formations: Le Pontet et
Nogent-sur-Marne.
Le Centre du Pontet, près d'Avignon, qui accueillait
précédemment les stagiaires d'Athena Assurances, a
été réorganisé afin de répondre aux
besoins des trois réseaux. Il couvrira, à partir du
premier janvier 2000, les trois régions du Sud de la
France. «Jusqu'à cette date, l'accent sera mis sur les
formations de convergence à destinations des Inspecteurs et des
délégués commerciaux des régions Sud,
explique Philippe Guérin, Directeur du Centre du Pontet. Les
premières réactions de stagiaires ICAP et ICAD sont, dans
l'ensemble, très positives, tant par rapport à la
nouvelle configuration du centre, qu'en termes de contenu des
formations dispensées». Dès le début
d'année prochaine, l'ensemble des inspecteurs seront donc en
mesure d'animer des circonscriptions incluant des agents
généraux issus des trois compagnies.
"Clones"
Pour les trois régions Nord, le nouveau Centre de
Nogent-sur-Marne, dispose de fonctionnalités parfaitement
identiques à celles de son "clone" méridional.
Situé à proximité de la gare de Nogent-Le Perreux,
accessible par l'autoroute A4, mais aussi par la nouvelle ligne de
métro Éole, le nouveau bâtiment de 2000 m2 est
capable d'accueillir 120 stagiaires, dans un environnement calme et
agréable, à proximité de Paris. Une localisation
centrale, qui permet de se rapprocher des "clients" des trois DR de
Strasbourg, Bercy et de Rennes
«Nous disposons de quatorze salles de formation
traditionnelles, de deux salles de "phoning", et de quatre salles
informatiques équipées des systèmes Lagon,
Archipel et Magellan, détaille Jean Châtel, Directeur du
nouveau Centre. Sans oublier "La Guinguette", une salle de
détente particulièrement appréciée pour son
côté convivial». Douze formateurs travaillent
à temps plein au sein du Centre de Nogent. Chacun d'entre eux
est spécialisé par marché, assurant les formations
spécifiques pour les marchés des particuliers, des
Professionnels et des entreprises , un quatrième pôle,
baptisé Environnement Agence, ayant la charge de dispenser les
formations spécifiques, mises en place dans le cadre de
l'école de vente. Une structure et un fonctionnement que l'on
retrouve, bien sûr, au Pontet.
Tellus, Pleins Phares: les premiers produits communs
Les premières formations de convergence à destination des
ICAD et ICAP ont commencé, à Nogent le 6 septembre
dernier, avant même l'inauguration officielle du Centre, le 26
octobre. Une manifestation qui s'est déroulée en
présence de la Direction Générale du pôle 1,
de représentants des Directions Régionales, des
Directeurs commerciaux et de partenaires tels que la mairie de Nogent
où la Direction du Pavillon Ballard, une salle de spectacle avec
laquelle le Centre a noué des relations particulières
afin d'offrir aux stagiaires des soirées culturelles. Tout sera
donc en place, en début d'année prochaine pour entrer
dans le vif du sujet: le lancement de produits communs.
Dès le début de l'année 2000, à la suite
des formations de convergence, les premiers stages produits à
destination des agents généraux seront organisés
dans les deux Centres. «Dans un premier temps, il s'agira de
former les agents, à Tellus, produit d'assurance-vie
commun aux trois réseaux, reprend Marc Burckel. Puis,
dès le mois d'avril 2000, débuteront les formations
concernant "Pleins Phares", produit d'assurance auto commun».
Grâce à la mise en place de produits de formation
adaptés, la convergence des réseaux entre donc
clairement dans une phase opérationnelle. «Notre
priorité actuelle est, sans conteste, la convergence, ajoute
Marc Burckel. Mais nous recensons par ailleurs les formations
dispensées jusqu'alors dans les trois réseaux, avec
l'objectif de bâtir un nouveau programme de formations
complémentaires, notamment comportementales, en nous appuyant
sur les meilleures pratiques identifiées au sein des trois
compagnies. Nous modernisons également les outils en
misant sur des supports plus conviviaux et interactifs. Un CD-Rom
d'auto-formation à Tellus sera d'ailleurs diffusé au
moment du lancement du produit».
La commission formation, qui fonctionne dans une configuration groupe,
incluant des représentants des 3 compagnies travaille par
ailleurs à la refonte du plan de formation initiale. Une
formation diplomante commune, à destination des futurs
agents généraux, bénéficiant du label
ENAS devrait donc prochainement voir le jour.
Le Pontet vu par les stagiaires
"Découverte des produits et enrichissement mutuel"
Gérard Monlahuc, inspecteur commercial assurances de
personnes en région Bourgogne a récemment suivi deux
stages de formation au centre du Pontet. «Le premier concernait
les assurances collectives précise-t-il. Quant au second stage,
il était destiné à préparer le lancement de
Tellus, premier produit 3A. Dans les deux cas, j'ai
été pleinement satisfait des prestations: les
présentations produits sont effectuées de manière
très professionnelle, le cadre est agréable et les
services comme la logistique sont tout à fait à la
hauteur» . Un avis partagé par Éric Ducroux,
Inspecteur général assurances dommages pour la même
région Bourgogne, qui a suivi un stage de convergence de deux
jours et demi au Pontet. «Le cadre est sympathique et favorise
l'émergence d'une bonne ambiance, déclare-t-il. Les
présentations produits nous permettent de faire un tour
d'horizon approfondi, et nous donne les clefs pour travailler
efficacement lors du retour en agence». Éric Ducroux
insiste également sur l'échange d'expérience:
«les stages sont l'occasion de confronter nos façons de
travailler, et d'appréhender les différences de pratiques
entre les réseaux, insiste-t-il. Ce partage d'expérience
est, pour moi, fondamental, car il permet un enrichissement mutuel
.»
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article in AGF Magazine num.6-1999-novembre (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
1194 mots / 7650 signes (5,1 feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES: (nov 1999) Marc Burckel, Directeur de la formation
d’AGF, Gérard Monlahuc, inspecteur
commercial
assurances de personnes en région Bourgogne d’AGF
|
http://bruno.cargneli.free.fr
Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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nov 1999 |
ENTREPRISE / NOUVELLES TECHNOS / FORMATION / 1999-novembre
France/informatique/fusion Allianz-Agf-Athena (3A)
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> Échange de bons
procédés
Les
réseaux Santé et Assurfinance vivent
désormais
à l'heure du "cross-selling" (vente croisée).
«Dès le début de
l'été, chaque
commercial Assurfinance (AF) s'est vu désigner un
chargé
d'affaires du réseau Santé, avec lequel
il a
travaillé en binôme afin d'identifier, au sein de
son
portefeuille de clients , ceux susceptibles d'être
intéressés par un contrat
Santé», explique
M. Depaepe, Inspecteur Général Ouest du
réseau AF.
Concrètement, les contacts réguliers entre
les
membres des binômes ont permis au réseau
Santé, en
s'appuyant sur les revues de portefeuilles et les
recommandations pouvant aller jusqu'à l'organisation de
rendez-vous communs, d'amplifier considérablement
son
action commerciale auprès de la cible des travailleurs
non-salariés Senior. «Les résultats de
cette
campagne ont été très satisfaisants
pour le
réseau Santé, poursuit M. Depaepe. Quant aux
clients, ils
ont compris et reçu la démarche de
manière
très positive.»
réciprocité
Avec
la
rentrée, ce fut au tour des commerciaux Santé de
mettre
à disposition de leurs homologues AF, leurs fichiers
clients.
«Le réseau Assurfinance mène
actuellement une
action auprès des travailleurs non-salariés de 20
à 59 ans, explique Bruno Wetz, chargé d'affaires
Santé à l'Agence Paris -Étoile. Nous
avons donc
travaillé ensemble, avec Christophe Van Heuschen, mon
homologue
au sein du réseau AF, à la qualification des
clients par rapport à cet objectif».
L'intérêt commercial est évident, mais
au
delà, Bruno Wetz insiste sur la qualité des
relations
régulières instaurées avec son
correspondant.
«Les contacts sont gérés au cas par
cas,
explique-t-il. Nous nous appelons donc
régulièrement afin
de bien préparer chaque entrevue, et d'identifier la
stratégie la plus pertinente. Nous sommes
désormais en
contact deux à trois fois par semaine, en plus des revues de
portefeuilles hebdomadaires que nous effectuons par
téléphone».Au delà des bons
résultats, cette action contribue donc fortement
à
l'émergence d'une vision homogène du groupe AGF ,
tant du
point de vue interne que pour la clientèle.
————————————————————————————————
article in AGF Magazine num.6-1999-novembre (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
353 mots / 2100 signes
(1,4
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(nov 1999) Bruno Wetz, chargé d'affaires
AGF
Assurfinances, Maurice Depaepe, Inspecteur
Général Ouest
du réseau AGF Assurfinances
|
http://bruno.cargneli.free.fr
Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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bimestriel,tirage: 40000ex. |
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6 |
nov 1999 |
ENTREPRISE
/ ECONOMIE/COMMERCE / FINANCES / 1999-novembre /
France/bancassurance/stratégie AGF/création d’AGF
Banque
|
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|
> Une
nouvelle banque au service du réseau
En
décembre dernier AGF Banque et Athéna banque ont
fusionné. Leurs activités respectives sont
désormais regroupées au sein d' une
même structure
baptisée qui a logiquement conservé le nom d'AGF
Banque.
Jusqu'à
présent, AGF Banque et Athéna Banque
étaient deux
entités distinctes, remplissant des missions
complémentaires: la première jouait le
rôle de
"banque de gros", en charge de la gestion de la trésorerie
du
groupe et de celle des investissements liés aux produits, la
seconde remplissant la fonction de "banque de détail,
c'est-à-dire les services bancaires aux particuliers.
«Depuis décembre 1999, les deux
établissements ont
fusionné, et adopté l'appellation commune "AGF
Banque",
explique Hervé Gloagen, Directeur
Général adjoint
de la nouvelle entité présidée par
Philippe
Toussain. Cette opération est avant tout motivée
par la
recherche de cohérence en termes d'image, tant
vis-à-vis
de l'interne que de l'externe. Il ne s'agit donc pas de modifier les
modes de fonctionnement, mais bien de souligner - et de renforcer - le
lien entre les activités bancaires et le groupe
AGF».
Une
décision en pleine cohérence avec la
stratégie
générale du groupe: au moment
où les
produits IARD, Santé et Vie, qu'ils soient
commercialisés
par le biais des réseaux de salariés,
d'agents
généraux, ou de courtiers, sont
unifiés sous
l'enseigne AGF, il était logique de
regrouper les
produits financiers sous une marque unique, rappelant elle
aussi
l'appartenance au groupe.
«Parmi
les
actions stratégiques décidées par la
Direction
Générale du groupe AGF, quatre au moins
concernent
directement les activités bancaires, poursuit
Hervé
Gloagen: le développement de comptes
rémunérés pour les agents
généraux,
celui des ventes de crédit par ce même
réseau,
l'accroissement des ventes de produits financiers, et enfin, celui des
ventes directes d'OPCVM et d'IARD. Dans ce contexte, AGF Banque
apparaît comme un des outils majeurs au service du
développement du groupe.» Une raison
supplémentaire
d'adopter une appellation rattachant clairement cette
activité
au groupe AGF.
Concevoir
de nouveaux produits
AGF
Banque
nouvelle formule compte désormais 70 collaborateurs aux
missions
clairement définies. «Nous sommes tout d'abord une
"usine"
de fabrication de produits bancaires, explique Xavier Ducerf,
responsable marketing de la banque, c'est-à-dire que nous
concevons les produits commercialisés par les
différents
réseaux. Cette tâche est, bien sûr,
réalisée en lien étroit avec les
directions
commerciales, afin de répondre au mieux à leurs
besoins,
et à ceux des clients.» Proche du
marché bancaire,
AGF Banque est idéalement placée pour observer et
analyser les différentes offres tant au niveau des taux que
des
services liés aux produits concurrents, et ce qu'il s'agisse
de
crédit ou d'épargne.
Une
véritable veille concurrentielle, qui permet d'imaginer de
nouvelles offres, de nouveaux concepts de produits afin de les proposer
aux directions commerciales des réseaux, avec qui l'offre
est
affinée puis validée.
Partenaire
des réseaux
«Nous
avons
également un rôle de soutien et d'apport de
savoir-faire
spécifiques, en particulier lorsque les commerciaux
expriment un
besoin d'expertise dans un domaine pointu, ajoute Hervé
Gloagen.
Et , nous assurons également une fonction d'animation et
d'apport d'information, qui s'appuie sur notre bonne connaissance des
clients».
Écoute,
disponibilité, soutien : la capacité
technique et
la compétence marketing des collaborateurs d'AGF Banque est
entièrement au service des réseaux et des
directions
commerciales, qui restent les seuls "clients" de la banque. Au sein de
celle-ci, les équipes sont d'ailleurs
spécialisées par réseau,
afin d'apporter les
réponses adaptées au mode de fonctionnement
et
à la culture de chacun d'entre eux.
«Les
conseillers peuvent nous contacter par téléphone,
dès qu'ils ressentent un besoin
d'éclaircissement
reprend Xavier Ducerf. Ils trouveront toujours un interlocuteur
compétent, avec lequel ils peuvent
engager une
relation suivie. Nous sommes très attentifs à la
qualité des services rendus aux commerciaux.»
Aujourd'hui
, 30
chargés de clientèle sur les 45 collaborateurs
issus
d'Athéna Banque délivrent ainsi leurs conseils et
leur
expertise aux salariés d'Assurfinance d'une part, aux agents
généraux et aux agents PFA (anciennement
réseau
expert) d'autre part, et enfin aux courtiers et apporteurs
d'affaires. Une équipe transversale assure, quant
à
elle, le soutien à tous les réseaux travaillant
la cible
des dirigeants d'entreprise.
AGF
Banque vise
aujourd'hui une croissance significative des encours. Une ambition qui
a toutes les chances de se réaliser, compte tenu des atouts
dont
dispose la banque, et de son mode de fonctionnement en prise directe
avec la force de vente des AGF.
Athéna
banque a d'ailleurs connu une croissance remarquable, en doublant de
taille au cours des 2 dernières années. La
nouvelle AGF
Banque est bien partie pour continuer dans cette voie de la croissance.
Encadré:
Une
offre résolument au service de la croissance
Capter,
conserver, conquérir: ces trois mots-clefs symbolisant des
temps
forts de la relation clientèle structurent toute l'offre de
services bancaires d'AGF Banque. Ils résument
l'ambition
d'une structure destinée à concevoir des produits
performants, et à appuyer les réseaux dans leur
commercialisation.
Capter
Pour
capter
l'attention d'un client, AGF Banque met à disposition des
réseaux une série de produits court terme, afin
de
faciliter les transferts de capitaux sur les supports Vie.
Services
concernés: comptes
rémunérés, comptes titres.
Conserver
Les
gammes de
produits Crédit Épargne ont pour objectif de
permettre
aux différents réseaux de contribuer efficacement
à la protection du portefeuille client.
Conquérir
Pour
permettre
aux réseaux de séduire et conquérir de
nouveaux
clients, AGF Banque a conçu une gamme de produits permettant
d'augmenter la collecte sur les supports Vie. Deux grands axes ont
été retenus : patrimonial, avec le
renforcement des
comptes courants d'associés, et offensif, avec des services
de
financement d'actif à crédit.
encadré
2
Produits
clef en main
Après
avoir conçu les produits en lien avec les directions
commerciales de réseau, AGF Banque propose
également une
gamme complète de services pour accompagner leur lancement.
Exemple concret, lors du lancement de Patrimonys, une formation
conçue à destination des agents
généraux
présentait le produit dans le détail. Outre une
série de documents expliquant le concept, l'identification
des
utilités, un planning d'intervention d'experts a
été établi. Des formations des
chargés de
clientèle AGF Banque ont été
organisées
afin de leur permettre de répondre efficacement aux
interrogations des différents réseaux. Un
lancement
véritablement "clef en main“
Contacts:
Hervé
Gloagen, Directeur Général adjoint
d’AGF Banque,
Philippe
Toussain Président d’AGF Banque,
Xavier
Ducerf, responsable marketing d’AGF Banque
————————————————————————————————
article in AGF Magazine num.6-1999-novembre (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
1100 mots / 6800 signes (4,5 feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(nov 1999) Hervé Gloagen, Directeur
Général adjoint d’AGF Banque, Philippe Toussain
Président d’AGF Banque, Xavier Ducerf, responsable
marketing d’AGF Banque
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Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
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7 |
jan 2000 |
SOCIETE / ENVIRONNEMENT / FINANCES / 2000-janvier
France/conséquences tempêtes 1999/bilan
assureurs:état des lieux/gestion des sinistres/dispositions
spécifiques/reportage terrain (Normandie)
|
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|
> Tempêtes: l'état de choc
Tout
le monde attendait le "bug"… mais c'est la tempête
qui aura marqué le passage à l'an 2000. Toits
arrachés, arbres déracinés, tuiles
envolées, véhicules endommagés ou détruits:
toute la France a été touchée. Plus grave,
près de 80 personnes auront perdu la vie au cours de cette
"tempête du siècle".
Pour
les agents, avec un nombre record de déclarations de sinistres,
il n'y a pas eu de trêve des confiseurs cette année. Mais,
s'appuyant sur les consignes de souplesse et les informations fournies
par la Compagnie, ils ont su faire face, accompagnant leurs
clients dans ces moments difficiles. Enquête sur le terrain.
Une
semaine après la tempête du 26 décembre dernier,
l'Eure était encore en état de choc. Des villages
entiers, avec leurs habitations endommagées, restaient
coupés du monde. Pour beaucoup d'habitants privés
d'électricité, d'eau et de téléphone, et
devant faire face aux inondations, le réveillon de l'an 2000
aura en fait ressemblé à un retour au XIX°
siècle.
Proximité
Dans ce contexte,
on a vu ressurgir des réflexes de solidarité qu'on aurait
parfois pu croire oubliés. Mais c'est à une population
traumatisée que les agents ont dû répondre.
«Être présent à l'agence, recevoir les
clients était absolument essentiel, explique Michel Moulette,
agent AGF à Pacy s/ Eure, qui dispose de deux autres
implantations à Mantes-la-Jolie et Oudan. Dans chaque village,
des sinistres de plus ou moins grande importance ont été
enregistrés, et notre rôle a consisté avant tout
à rassurer nos clients, les écouter, et jouer notre
rôle d'interlocuteur de proximité. Un rôle
essentiel, surtout en milieu rural, que j'ai pu assurer grâce
à une gestion des sinistres en direct.»
Dès le
dimanche 27 au matin, constatant l'étendue des
dégâts, Michel Moulette décide de passer à
l'agence pour brancher un répondeur donnant les premières
instructions, et invitant les personnes sinistrées à
reprendre contact le lendemain. «Dès la matinée du
lundi 27, nous avons fonctionné en cellule de crise: je
recevais les assurés désirant parler de leurs
problèmes, et ai visité certains sites
particulièrement touchés, notamment des exploitations
agricoles où les récoltes, exposées à la
pluie, nécessitaient des interventions d'urgence, reprend Michel
Moulette. Une collaboratrice, Michèle Descamps,
assurait à l'agence la gestion des déclarations et
la prise d'appels ».
Mais
paradoxalement, la journée de lundi fut plutôt calme,
chacun tentant de faire des réparations de fortune. Le
véritable rush est intervenu mardi matin.
À Paris,
Simon-Charles Benabou, agent PFA, a lui aussi ouvert l'agence de 8:30
à 21:00 le lundi, jour habituel de fermeture. «Nous
avons reçu une centaine d'appels au cours de la journée,
déclare-t-il. Et il nous a fallu répondre à toutes
sortes de questions, certains clients, désespérés,
nous demandant par exemple si nous connaissions des couvreurs. Notre
priorité était clairement de montrer que nous
étions à leurs côtés et de parer au plus
pressé. Cela a été, je crois, très
apprécié, même lorsque nous ne pouvions apporter de
réponse immédiate». En tout, plus de 100
déclarations de sinistres ont été
enregistrées en trois jours.
Les agents sont unanimes: ils ont tous été frappés par la dignité des personnes touchées
«Tous ou
presque ont compris le caractère exceptionnel de la situation,
reprend Michel Moulette. Chacun a pensé que d'autres avaient
été plus gravement touchés.»
Pas de calme après la tempête
Plus à
l'Ouest, à Rouen, où la tempête a
entraîné la chute d'un des clochetons de 27 tonnes de la
Cathédrale, Jean-Claude Monin, agent Allianz a également
fait face. Une semaine après le sinistre, il estime avoir
reçu 80% des déclarations, mais s'attend à une
deuxième vague, liée aux constats dans les
résidences secondaires et aux retours de vacances. «Les
sinistres sont très nombreux, mais relativement limités,
même si, compte tenu de la saison, ils sont très
gênants pour nos assurés, explique-t-il. Après la
phase d'urgence, il nous faut désormais relayer des informations
plus techniques, car nos clients ne font pas tous la distinction entre
la tempête et l'état de catastrophe naturelle. Nous avons
donc un effort de communication à mener pour expliquer les
différences dans les garanties. Mais l'impact financier ne
devrait pas être considérable, car le niveau des
franchises est sensiblement identique.»
Agent PFA à
Paris, M. Matuive a enregistré près de 150
déclarations de sinistres en une semaine. «90% d'entre eux
entrent dans le cadre du seuil de 25 kF explique-t-il, mais nous aurons
à gérer quelques dommages beaucoup plus
importants». Seule "bonne" surprise pour la plupart des
agents: la faiblesse des dégâts subis par les entreprises.
«La gestion
de l'après tempête sera assez lourde, mais les
dispositions exceptionnelles prises par le groupe, la
réactivité dont il a fait preuve dans la diffusion
d'information, les échanges que j'ai pu avoir avec Aline Baudin,
de la Direction Paris-Nord nous ont permis d'être très
réactifs, reprend M. Matuive.»
Globalement, dans
cette situation exceptionnelle, les attentes de la clientèle ont
été bien comprises et satisfaites.
À
Versailles, Frédéric Tavernier, agent AGF insiste lui
aussi sur cet aspect. «Heureusement, nous sommes plutôt
dans une période creuse, ce qui nous permet de nous consacrer
à la gestion des sinistres, déclare-t-il. Grâce au
dispositif des transactions de gré à gré, 90%
d'entre eux devraient pouvoir être rapidement
réglés. Surtout, les dispositions prises à titre
exceptionnel nous ont permis de jouer pleinement notre rôle
d'assureur, d'être véritablement aux côtés de
nos clients, et d'instaurer des liens durables.»
encadré
Dispositions exceptionnelles
Dès le
lundi 27 décembre, le groupe AGF informait les agents de la mise
en place de dispositions exceptionnelles dans le cadre de la gestion
des sinistres liées à la tempête. Principales
mesures prises: l'instauration d'un seuil de 25 000 F en dessous
duquel les réparations sont effectuées directement,
et remboursées de gré à gré sur
présentation de justificatifs (photos et devis) moyennant
l'application d'une franchise, délais de déclarations
portés à 10 jours au lieu de cinq, et prise en charge
exceptionnelles de certains dégâts, comme ceux
causés aux habitations par projection d'arbres
déracinés.
Des dispositions
qui ont permis aux agents d'apporter rapidement des solutions
concrètes aux assurés, et d'affirmer la présence
de la Compagnie aux côtés des sinistrés à
l'occasion de cet événement exceptionnel.
Article n°2
Plates-formes téléphoniques: le rush!
Dans la semaine du
26 au 30 décembre dernier, la plate-forme
téléphonique Indemnisation de Tours a répondu en
moyenne à 450 appels/jour, soit le triple de ce qu'elle assure
habituellement. «Encore s'agit-il seulement des appels que nous
avons pu prendre, insiste Sylviane Chatelus, manager. Car
beaucoup restaient en file d'attente. C'est seulement à partir
du 5 janvier que nous avons pu passer à la phase de traitement
des sinistres». Des toitures soufflées nécessitant
le relogement des personnes touchées jusqu'à la
destruction… de la niche du chien, en passant par les antennes
télé et, surtout, les arbres déracinés,
l'équipe réduite de 10 personnes, au lieu de 22
habituellement présente durant la période des fêtes
a tout vu et tout entendu. «Nous avons dû faire face
à des situations dramatiques et répondre à des
personnes traumatisées, reprend Sylviane Chatelus, ce qui
rallongeait d'autant la durée des appels. Les collaborateurs en
vacances pendant les fêtes ont cependant été
solidaires, et certains ont abrégé leurs congés
pour venir en renfort alors que cela n'était pas prévu.
Deux intérimaires seront recrutés prochainement,
afin de traiter les dossiers. 4 à 5 mois seront
nécessaires pour répondre à toutes les
demandes, même si 80% des dossiers correspondent à des
sinistres mineurs.
Personnel AGF: autant touché, aussi inquiet.
«En 3 jours,
nous avons ouvert 600 dossiers de sinistres concernant le personnel
AGF, constate Paul Milia, responsable des affaires du Personnel. 1000
appels ont été passés le 27 décembre,
et 900 le 28 sur le n° Azur… alors que nous n'étions
que 4 personnes, en cette période de fête.» Une
activité qui a valu à la plate-forme les honneurs du
journal télévisé, mais qui s'est surtout traduite
par un débordement chronique. «Les demandes ont
été enregistrées dans une base spécifique,
et nous avons conseillé à nos interlocuteurs d'effectuer
les réparations, et d'envoyer directement les factures
jusqu'à 10 kF. Cela a permis de faire face aux urgences».
Surchargés, les téléopérateurs ont fait de
leur mieux pour répondre aux questions les plus diverses, et
rassurer leurs interlocuteurs.
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article in AGF Magazine num.7-2000-janvier (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
1439 mots / 8700 signes
(5,8
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(jan 2000) Michel Moulette, agent AGF à Pacy
sur Eure (27,Eure); Simon-Charles Benabou, agent PFA à Paris;
Jean-Claude Monin, agent Allianz à Rouen (27, Eure);
Frédéric Tavernier, agent AGF à Versailles (78,
Yvelines); Michel Matuive Agent PFA à Paris; Paul Milia,
responsable des affaires du Personnel des AGF; Sylviane Chatelus,
manager plate-forme téléphonique indemnisation des AGF
à Tours.
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7 |
jan 2000 |
ENTREPRISE
/ INTERNATIONAL / STRATEGIE / 2000-janvier / Afrique/marché de
l’assurance/réseau des filiales AGF
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|
> Athena Afrique mise sur le continent noir
Basé
à Paris, Athena Afrique est la filiale spécialisée
des AGF couvrant huit pays d'Afrique subsaharienne. Cette
organisation en holding lui permet à la fois de
jouer son rôle de contrôle financier des différentes
filiales dans chaque pays, et de mettre à leur disposition
les moyens nécessaires pour couvrir efficacement des
marchés relativement étroits mais en croissance. Une
stratégie gagnante qui lui permet de s'installer durablement
dans le paysage africain.
Dans
l'organisation d'Athena Afrique, c'est le siège parisien qui
pilote le système d'information commun à l'ensemble des
filiales de chaque pays, mutualisant ainsi les coûts de
développement et d'adaptation d'un système performant. De
même, les produits développés pour le
marché des particuliers sont communs à toute la zone, et
sont ensuite adaptés localement.
L'intérêt
de cette centralisation des décisions apparaît
clairement lorsqu'il s'agit d'assurer des risques industriels.
«Nous disposons d'experts pour chaque catégorie de
risques qui, depuis le siège parisien, négocient
des contrats avec des sociétés, pour une couverture
globale, dans l'ensemble des pays où nous sommes
présents, explique Jean-Yves Julien, Directeur d'Athena Afrique.
Cette centralisation est une composante majeure de notre
stratégie, car elle nous permet de tenir le même langage
que celui des "Risk managers" des grands groupes industriels, de les
satisfaire, et donc de les fidéliser». Un axiome qu'a
négligé AXA, l'un des grands concurrents d'Athena
Afrique jusqu'à son désengagement récent du
continent: la société avait fait le choix d'une gestion
par pays, s'appuyant sur des sociétés totalement
indépendantes. Au bout du compte, certains de ses clients
industriels ont choisi de résilier leur contrats et de se
reporter sur Athena Afrique et ses filiales. «Nous sommes le seul
groupe à pratiquer une telle gestion centralisée des
contrats dans cette zone, insiste Jean-Yves Julien. Et cela revêt
un aspect stratégique pour le groupe AGF dans son ensemble, car
nous pouvons ainsi négocier des couvertures réellement
mondiales pour nos clients industriels».
Pilotage parisien, forte présence locale.
Mais il ne s'agit
pas de réduire l'activité d'Athena Afrique aux seuls
risques industriels, même si ceux-ci entrent pour une bonne part
dans les 41 Mds de Francs CFA de chiffre d'affaires
réalisés par la filiale. Implantée dans trois pays
d'Afrique de l'Ouest (Burkina Fasso, Côte d'Ivoire et
Sénégal) et trois pays d'Afrique Centrale (Cameroun,
Gabon et République Centrafricaine), Athena Afrique ouvrira
dès le premier janvier 2000 deux nouvelles filiales au Mali et
au Bénin. Dans ces pays, le groupe fait réellement partie
de la vie quotidienne. Avec une part de marché moyenne de
18%, chacune des filiales nationales se classe parmi les 5
premiers assureurs du pays, et les Directeurs
Généraux jouent un rôle important au sein des
associations locales regroupant les professionnels du secteur.
«Nous avons
tenu à épouser au maximum les réalités
géopolitiques des pays que nous couvrons , reprend Jean-Yves
Julien. Cela implique de travailler à la fois dans les
langues françaises et anglaises - parfois dans un même
pays comme au Cameroun - et d'adapter localement nos produits en
fonction des législations en vigueur. Partout, nous sommes en
contact étroit avec les autorités locales judiciaires ou
de police». Bref, les filiales d'Athena Afrique font partie du
paysage. Elles contribuent même, parfois, grâce à ce
rôle d'animation, à faire évoluer les
législations. Et il arrive même qu'elles fournissent le
code des assurances aux juges chargés de faire respecter la
loi… sans disposer d'ouvrage de référence.
Produits spécifiques
Cette
implantation locale passe aussi par la mise en place de produits
spécifiques, répondant aux réalités
économiques et culturelles africaines. «Nous avons par
exemple créé un produit de retraite dont le nom:
"Sagesse" , parle aux Africains, détaille Claire Hamonic, en
charge des actions commerciales et du développement. De
même, nous avons lancé une rente éducation, un
produit d'assurance-vie permettant de faire face aux frais de
scolarité en cas de décès des parents, dans des
pays où la mortalité reste élevée; ou
encore des produits de retraite et de couverture maladie qui
connaissent un succès grandissant. Ils viennent répondre
à des besoins majeurs, car, en Afrique, aucune retraite
n'est prévue, à l'exception de celle des fonctionnaires,
et les équivalents de notre sécurité sociale sont
inexistants ou très peu développés».
On retrouve cette
spécificité africaine en matière de non-vie. Les
assurances auto prévoient ainsi une substitution de
débiteur car, si l'assurance est, comme en France, obligatoire,
beaucoup de conducteurs passent outre cette réglementation. En
cas d'accident avec un tiers dans cette situation, les contrats
prévoient donc le versement d'une somme à concurrence
d'un plafond.
Une telle
situation a d'ailleurs servi de base à un spot de
publicité pour "Char Assur", la très populaire assurance
cyclo, qui est aujourd'hui devenu célèbre dans tous ces
pays. Il mettait en scène un "Malabar", très
énervé après qu'un scooter, piloté par un
individu plutôt malingre, ait percuté sa voiture en
pilotant son scooter. La présentation du contrat d'assurance
faisait naître un sourire, désormais
célèbre, sur les lèvres du grand
costaud…
«Des
actions de communication personnalisées sont menées dans
toutes les régions insiste Claire Harmonic. Nous avons
ainsi récemment lancé une campagne en Foufouldé,
langue utilisée dans le Nord du Cameroun, région
montagneuse majoritairement musulmane, et qui a une
spécificité bien marquée par rapport à la
côte, où l'influence française se fait beaucoup
plus sentir.»
Cette adaptation
aux réalités locales , la volonté marquée
d'être présent dans tous les sites stratégiques,
maillant ainsi le territoire et affirmant sa présence par une
communication de proximité sont, avec le pilotage
centralisé, des aspects essentiels de la stratégie
d'Athena Afrique. C'est sur ces forces que la filiale base son
développement. Avec des résultats plus que satisfaisants.
Encadrés
Les filiales d'Athena Afrique
Bénin: SOBAC
Burkina Faso: Foncias & Foncias vie
Cameroun: SNAC, SNAC Vie & GEACAM
Côte d'Ivoire: Saffarriv & Saffariv Vie
Gabon: Ogar & Ogarvie
Mali: AGM
République Centrafricaine: UCAR
Sénégal: Snas & Snas Vie
Le code CIMA: un grand pas en avant.
Depuis 1995, la
code de la Conférence Interafricaine des Marchés de
l'Assurance (CIMA) réglemente le fonctionnement des compagnies
d'assurance dans la zone franc de l'Afrique subsaharienne.
Instituée par le traité de Youndé de 1992, la CIMA
avait pour mission d'élaborer une législation
supranationale unifiée et de mettre en place une structure de
contrôle afin d'assainir le marché. Une grande partie des
sociétés d'assurance de droit local se trouvait en effet,
au début des années 1990 dans une situation
financière critique. Aujourd'hui, cinq ans après la mise
en place de la conférence, celle-ci a produit ses effets,
contrôlant, et structurant durablement le marché de
l'assurance. Résultat: l'Afrique subsaharienne est, de ce point
de vue législatif, particulièrement homogène, et
même en avance, sur ce critère d'unification des
législations, par rapport au marché européen! En
attendant cependant sa généralisation effective.
CA des 100 sociétés de la zone CIMA (1997): 246 Mds de F CFA
placements réinvestis dans les circuits économiques : 365 Mds de F CFA
répartition par pays du CA 1997 de la zone CIMA:
Côte d'Ivoire: 92 Mds F CFA
Cameroun: 44 Mds F CFA
Gabon: 33 Mds F CFA
Sénégal: 26 Mds F CFA
Athena et Axa-UAP représentent 40% du CA de la zone.
Coupe d'Afrique des Nations
Un événement qui compte
Athena Afrique a
été sponsor officiel de la Coupe d'Afrique des Nations de
football 1998, qui s'est déroulée au Burkina Faso.
L'occasion de réaffirmer son implantation locale et de
développer encore sa notoriété. Avec
succès, car la CAN est un événement très
populaire: durant les matches, toute l'Afrique s'arrête.
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article in AGF Magazine num.7-2000-janvier (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
1308 mots / 8000 signes
(5,3
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(jan 2000) Jean-Yves Julien, Directeur d'Athena
Afrique (filiale AGF), Claire Hamonic, chargée des actions
commerciales et du développement Athena Afrique
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http://bruno.cargneli.free.fr
Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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AGF MAGAZINE
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bimestriel,tirage: 40000ex. |
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mar 2000 |
ECONOMIE/COMMERCE
/ INTERNATIONAL / CONJONCTURE / 2000-janvier / impact évolution
des taux de change/parité euro-dollar
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> Que cache la parité euro-dollar?
Introduit au début
de l'année 1999, l'euro a suscité beaucoup d'espoir. L'un
des objectifs recherchés avec sa mise en place
était clairement de devenir, face au dollar, une autre "monnaie
de référence". L'évolution du cours de l'euro face
à la monnaie américaine était donc sous
surveillance, et l'atteinte, le 2 décembre dernier, du seuil de
la parité (un euro pour un dollar), a été ainsi
été largement commentée. Que faut-il en penser?
Nous avons demandé son avis à un expert: François
Lemoine, stratégiste à AGF Asset Management.
«La valeur accordée à une devise est le reflet de
la confiance témoignée au pays qui l'émet,
explique François Lemoine. Celle-ci dépend, globalement
de deux grands paramètres: d'une part l'état de
santé de l'économie, et notamment son rythme de
croissance, et d'autre part la confiance témoignée aux
institutions économiques et politiques, et à leur
fonctionnement». Force est de reconnaître que,
suivant ces critères, l'euro n'avait pas, en 1999, de raison
particulière de briller face au dollar.
Croissance américaine soutenue
«D'abord parce que, contrairement aux attentes, la croissance est
restée, l'année dernière, plus forte aux USA
qu'en Europe, précise François Lemoine. » Ce
phénomène perdure en fait depuis des années.
Ainsi, alors qu'en 1999, le taux de croissance de l'économie
américaine évoluait entre +3,5 et +4%, sans
générer d'inflation, le Vieux Continent affichait lui, un
score de +2%, avec un taux de chômage toujours
élevé.
Des institutions qui doivent faire leur preuve
Une autre explication de la confiance témoignée à
l'économie américaine est la reconnaissance, par les
opérateurs, de la capacité de la Federal Reserve Bank (la
banque centrale américaine) à mener une politique
efficace pour soutenir la croissance. «Dans le même temps,
on assistait à la naissance de la Banque Centrale
Européenne (BCE) dans un contexte mouvementé, ajoute
François Lemoine. Il y eut d'abord les négociations
autour de sa présidence, finalement confiée à M.
Duisenberg -qui doit être remplacé par M. Trichet,
sans que l'on sache véritablement quand. Et surtout, le
gouvernement de la Banque est soumis à l'approbation de tous les
pays. La BCE doit encore faire ses preuves.» Il ne faut pas
l'oublier non plus, l'Europe a connu, en 1999, une guerre sur son sol:
celle du Kosovo, qui n'a pas, loin de là, rassuré les
investisseurs. La démission du ministre des finances allemands,
le manque de cohésion lors des négociations de
l'OMC, à Seattle, n'ont pas, non plus, arrangé les choses.
«De plus, les européens investissent actuellement beaucoup
aux États-Unis, ce qui contribue à la sortie de devises,
insiste François Lemoine. court terme, la parité
euro-dollar est d'ailleurs plutôt bonne pour la croissance
européenne, les produits européens
bénéficiant, avec la baisse du taux de change, de prix
compétitifs. Les entreprises européennes gagnent des
parts de marché de manière significatives, qu'elles ne
perdront pas facilement. En fait, le véritable risque de cette
dévaluation, c'est l'inflation».
On a en effet connu, l'année dernière, une hausse
significative du prix des matières premières, et
notamment du pétrole, qui est passé de $9 à $25 le
baril, au moment même ou l'euro chutait face au billet vert.
«Ce risque de dérapage inflationniste n'est cependant pas
inquiétant pour le moment, conclut François Lemoine. Mais
psychologiquement, il serait dérangeant que l'euro passe
durablement sous le seuil de 1$».
À court terme, la tendance est donc en faveur des
États-Unis. Mais l'Europe- et l'euro- ont des arguments
à faire valoir.
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article in AGF Magazine num.8-2000-mars (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
614 mots / 3600 signes
(2,4
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(jan 2000) François Lemoine,
stratégiste à AGF Asset Management.
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Bruno cargnelli,
rédacteur, journaliste, conseil en communication. 8 rue Buzelin 75018
Paris France - 01 40 36 80 08 - 06 11 68 86 23- words@noos.fr
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8 |
mar 2000 |
SOCIETE
/ ECONOMIE/COMMERCE / ENVIRONNEMENT / 2000-mars / France/tempêtes
1999/conséquences/politique d’indemnisation
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> Indemnisation des tempêtes de décembre 1999
Dispositions exceptionnelles…mais vigilance et fermeté.
À
événement exceptionnel, mesures exceptionnelles. Afin de
faciliter l'indemnisation des sinistres liées à la
tempête du 26 décembre dernier, de simplifier la tache des
agents et courtiers, tout en répondant aux fortes attentes des
assurés dans une période parfois critique pour eux, une
série de décisions ont été prises
rapidement au niveau central . Le point avec Philippe Chartier,
Directeur Technique Indemnisation
Pouvez-vous résumer les principales dispositions exceptionnelles mises sur pied par la Compagnie?
Après la tempête, certains assurés ont dû
faire face à des situations d'urgence. L'une des mesures les
plus appréciée de leur part a, sans doute,
été le report du seuil de déclenchement des
missions d'experts à 25 kF, au lieu des 5 000 F habituels. La
possibilité de traiter de gré à gré,
accordée dès le début janvier à titre
exceptionnel et temporaire, pour des montants de réparation
allant jusqu'à cette somme, a permis de répondre
rapidement aux attentes de nos assurés dans ce contexte
très particulier, tout en évitant un engorgement
dans le traitement des dossiers.
Dans le même esprit de simplification et d'efficacité, il
a été décidé d'appliquer
systématiquement les dernières versions des contrats
Melian (Allianz), Mozaic (PFA) et Variation (AGF) souscrits par les
particuliers.
Enfin, Nous avons également décidé d'indemniser
les bâtiments en valeur à neuf, dans les limites
contractuelles, et de prendre en compte certains dommages
habituellement exclus des garanties.
Lesquels?
Toujours compte tenu de la dimension exceptionnelle de
l'événement, nous prenons en charge, de manière
homogène au niveau 3A, les dommages causés aux murs de
soutènement, aux murs d'enceinte et aux portails lorsque ceux-ci
ont été endommagés par la chute d'un arbre, ainsi
qu'un certain nombre d'autres frais traditionnellement exclus. Il
s'agit par exemple de l'élagage des arbres, lorsque ceux-ci sont
liés à un événement garanti.
Sont également concernés les dommages causés
aux antennes hertziennes ou paraboliques, mais aussi les surfaces en
matière plastique assimilables à des vitres, les
enseignes de magasins, les dommages de mouille liés à la
tempête et concernant les bâtiments en cours de
réfection… Quant aux assurances multirisques
agricoles, un alignement des franchises des trois
sociétés a été décidé, qui
ramène celles-ci à environ 3000 F.
Ces mesures font gagner du temps de traitement. Mais quel est leur coût?
Tout d'abord, je voudrais insister sur le fait que, pour faire face
à certaines situations délicates, la Compagnie a
décidé la mise en place d'un budget commercial dont
la première dotation est de 8 MF.
L'ensemble des dispositions exceptionnelles ont été
globalement bien comprises et appréciées de nos clients.
Mais il nous faut, désormais, être d'autant plus vigilants
par rapport à certains excès.
Une première réunion organisée entre
représentants nationaux des secteurs du BTP et de l'assurance a,
en effet, permis d'estimer le surcoût lié à la
surcharge de travail des entreprises de construction - leur imposant le
recours à des heures supplémentaires- à 25% des 30
Mds de francs de dégâts estimés au niveau national.
Dans ce contexte, certains abus manifestes ont déjà
été constatés qui ne doivent pas être
tolérés.
Une note spécifique a été communiquée
à ce sujet, à destination des trois réseaux.
Outre l'imposition d'un contrôle systématique des factures
globales, ne faisant pas apparaître de détail des
prestations, nous sommes décidés à porter les cas
litigieux devant la Direction Générale du Commerce, de la
Concurrence et de la Répression des Fraudes. La souplesse
dont nous avons fait preuve n'exclura donc pas la fermeté.
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article in AGF Magazine num.8-2000-mars (communication interne-bimestriel,tirage: 40000ex.)
612 mots / 3700 signes
(2,5
feuillets)
par Bruno Cargnelli pour L’Agence/AGF-assurances générales de France (services financiers/assurances)
PERSONNES CITEES:(mar 2000) Philippe Chartier, Directeur Technique
Indemnisation AGF Courtage.
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sep 1999

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>formation

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